French reports (Français)
Londres redoute une attaque chimique de l’EI
Dans le rapport sur les « conditions d’emploi des armées lorsqu’elles interviennent sur le territoire national pour protéger la population » remis aux parlementaires français en mars 2016, l’hypothèse d’un attaque chimique lancée par l’État islamique (EI ou Daesh) en France était jugée « peu probable à ce stade compte-tenu des risques inhérents » au transport d’agents chimiques (conditionnement particulier pouvant attirer l’attention, ou être l’objet d’une rupture de confinement accidentelle, etc).
Cependant, pouvait-on lire dans ce document, « la réalisation de projets de ce genre ne peut être exclue, compte tenu des objectifs, de l’idéologie et des capacités de l’organisation. »
Un mois plus tôt…