French reports (Français)
Un sénateur visé par des sanctions russes nommé à la tête du renseignement américain
Le moins que l’on puisse dire est que Donald Trump, le prochain président des États-Unis, s’est montré sceptique face à l’ingérence présumée de la Russie dans l’élection présidentielle américaine, via le piratage informatique des serveurs du Parti démocrate et la diffusion de courriels susceptibles de déstabiliser la campagne d’Hillary Clinton.
Le 4 janvier, via Twitter, et alors que, en 2011, il avait demandé la peine de mort contre lui pour avoir rendu public les câbles diplomatiques américains, M. Trump est allé même jusqu’à donner du crédit à Julian Assange, le…